L’aigle à tête blanche et le faucon pèlerin figuraient parmi les premières espèces à avoir été mises officiellement sur la liste des espèces en voie de disparition et protégées en vertu de la Loi sur les espèces en voie de disparition, en 1973. Au cours des années 1960 et 1970, la pollution par des pesticides avait presque anéanti le faucon pèlerin et avait radicalement réduit les populations de l’aigle à tête blanche. Les deux espèces ont fait de bons progrès lorsque le D.D.T. et d’autres pesticides furent interdits et que des mesures énergiques furent prises pour reconstituer leurs populations. Il y a aujourd’hui en Ontario environ 1 400 couples d’aigles à tête blanche et 70 couples de faucons pèlerins.
Déclassement
Le faucon pèlerin a fait de si bons progrès qu’il a été rayé de la liste des espèces protégées en vertu de la Loi sur les espèces en voie de disparition. Son état a été ramené de la catégorie Espèce en voie de disparition à la catégorie Espèce menacée. Sa population ne cesse de croître d’une année à l’autre. L’espèce jouira toujours de la protection que prévoit l’annexe 7 (rapaces spécialement protégés) de la Loi sur la protection du poisson et de la faune, ce qui veut dire qu’elle ne peut être ni chassée ni piégée, et que ses nids et ses œufs sont protégés. En outre, son habitat continuera d’être protégé grâce à la Loi sur l’aménagement du territoire et aux plans d’aménagement forestier.
La protection de l’aigle à tête blanche se poursuivra, en vertu de la Loi sur les espèces en voie de disparition, au sud de la rivière des Français et de la rivière Mattawa. Au nord de cette limite, l’espèce sera ramenée de la catégorie En voie de disparition à la catégorie Espèce préoccupante. Elle continuera de jouir de la protection que prévoit l’annexe 7 (rapaces spécialement protégés) de la Loi sur la protection du poisson et de la faune, ce qui veut dire qu’elle ne peut être ni chassée ni piégée, et que ses nids et ses œufs sont protégés. Son habitat continuera d’être protégé grâce aux plans d’aménagement forestier.
Il y a en Ontario 176 espèces de plantes et d’animaux en péril (10 espèces déracinées, 76 espèces en voie de disparition, 45 espèces menacées et 45 espèces préoccupantes).
Faudrait peut être que l'être humain arrêt c'est connerie et si ne se respecte pas lui même qui et au moins du respect pour la nature qui lui a donner vie
Amicalement
Fiohnir